Rencontre citoyenne du 8 novembre
Démocratie et Commune à Eyragues Encore une belle après-midi de rencontres et d’échanges constructifs en ce samedi 8 novembre à
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novembre 8, 2025
Coop’s Coop’s Coop’s Coop’s Coop’s Coop’s
Ensemble, libres et forts
Partager, écouter, apprendre, agir
Retrouvons la liberté et agissons
Economie, éducation, santé ...
Démocratie et Commune à Eyragues Encore une belle après-midi de rencontres et d’échanges constructifs en ce samedi 8 novembre à
Issu d’un milieu modeste et attaché aux valeurs de solidarité, de respect et d’écoute, il voit dans la coopérative politique l’incarnation d’un engagement collectif authentique, au service du peuple.
Mes grands-parents maternels étaient agriculteurs (carte au parti communiste) et ceux paternels travaillaient à la SNCF, mes parents et ma sœur sont fonctionnaires.
J’exerce la magnifique profession en tant que libéral, de masseur-kinésithérapeute.
J’ai donc la chance d’échanger avec toutes les couches sociales et de tous âges. La politique (dans son sens premier : qui concerne les citoyens d’un Etat) m’a toujours intéressé.
Mais je n’ai jamais trouvé ma place dans un parti où mes valeurs de solidarité, de travail, de respect et d’écoute pouvaient être représentées.
En discutant au quotidien depuis 25 ans dans mon cabinet, j’ai pu constater que l’on pense tous à 75% la même chose mais depuis très longtemps l’art 2 et l’art 3 de la constitution sont bafoués. Les représentants du peuple ne le sont que le temps des élections pour ensuite s’assujettir au bureau de leur parti.
Comme dans le rugby où l’individuel est au service du collectif et de l’intérêt commun, la coopérative politique représente en tout point ces valeurs qui me sont chères : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple.
Ancienne militante écologiste, elle ne se reconnaît plus dans les partis actuels et trouve dans la coopérative politique un espace de souveraineté populaire et de confiance citoyenne retrouvée.
J’ai la chance d’avoir reçu dès mon enfance une éducation « politique », c’est-à-dire un éveil à la responsabilisation en tant que citoyen appartenant à une communauté : qu’il s’agisse du village, de la région, du pays et même du monde.
Fille de maraîcher pionnier dans le développement de l’agriculture biologique, j’ai grandi dans la mouvance écologique. Pendant des dizaines d’années, j’ai défendu avec force et conviction les idéaux portés par ce mouvement. Aujourd’hui, je ne me reconnais plus dans ce parti politique.
D’une part, parce que les valeurs que seuls les écologistes portaient hier sont désormais partagées par tous. L’écologie est dans la conscience de tous. Et c’est une grande victoire. D’autre part, les positions politiques des partis dits verts ne me correspondent plus.
Aujourd’hui, il me semble urgent de défendre d’autres valeurs : la souveraineté populaire.
Je rêve d’un monde où les agriculteurs qui vivent à côté de chez moi puissent vivre dignement de leur labeur au lieu de négocier les fruits de leur travail à des prix humiliants alors que le marché est inondé de ces mêmes produits à des prix défiant toute concurrence en provenance notamment de pays européens ne respectant pas les normes européennes.
Je rêve d’un pays qui retrouve son identité, d’un pays qui défende ses particularités pour aller à la vraie rencontre des autres pays avec chacun ses différences plutôt que d’une nation qui s’écrase devant les puissances financières.
C’est pourquoi, la coopérative politique du peuple souverain a été pour moi une révélation. Elle ouvre cet espace où chacun peut librement exister et grandir avec les autres.
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